samedi 5 septembre 2015
samedi 8 août 2015
lundi 15 décembre 2014
Les écrivains de KHENCHELA , Monsieur Salah LAGHROUR (les commentaires sont rédigé par mon ami Mourad NOUREDIN)
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| Salah LAGHROUR |
"Abbés Laghrour du militantisme au combat" de Salah Laghrour
Salah Laghrour auteur du livre « Abbés Lagrour, du militantisme au combat »,est
né en 1947 ,frere de abbés laghrour et de chaabane laghrour (chahid), universitaire et un ancien professeur de mathématiques. Il est connu pour ses contributions dans la presse nationale sur divers sujets historique notamment sur l’histoire de la guerre dans les Aurès-Nemamchas.
Le livre traite le parcour glorieux de Abbés Lagrour qui fut l’un des précurseurs du groupe qui avait allumé la mèche révolutionnaire.il adhéra au mouvement national (PPA-MTLD) des sa prime jeunesse et dirigea l’opération du 1er novembre 54 à Khenchela.Un des principaux adjoints de Ben Boulaid,il devint pour une courte durée chef des Aurés-Nemamchas,Cet homme pieux, fut pour ses compagnons, et surtout ses adversaires de l’armée coloniale, un grand stratège de la guérilla en Algerie,mais qui fut assassiné dans des circonstances qui demeurent opaques. Dans son livre de plus de 250 pages, l’auteur apporte ainsi des éclaircissements sur ce fait, en évoquant le parcours de ce valeureux guerrier colonel de la Wilaya I historique et pose quelques interrogations sur l’opacité qui dure depuis plus d’un demi-siècle concernant son assassinat ainsi que celui de ses compagnons.
et ce à partir de recueils de témoignages et divers écrits historiques sur la guerre de libération.(Edition ecchihab 2014)
Salah Laghrour auteur du livre « Abbés Lagrour, du militantisme au combat »,est
né en 1947 ,frere de abbés laghrour et de chaabane laghrour (chahid), universitaire et un ancien professeur de mathématiques. Il est connu pour ses contributions dans la presse nationale sur divers sujets historique notamment sur l’histoire de la guerre dans les Aurès-Nemamchas.
Le livre traite le parcour glorieux de Abbés Lagrour qui fut l’un des précurseurs du groupe qui avait allumé la mèche révolutionnaire.il adhéra au mouvement national (PPA-MTLD) des sa prime jeunesse et dirigea l’opération du 1er novembre 54 à Khenchela.Un des principaux adjoints de Ben Boulaid,il devint pour une courte durée chef des Aurés-Nemamchas,Cet homme pieux, fut pour ses compagnons, et surtout ses adversaires de l’armée coloniale, un grand stratège de la guérilla en Algerie,mais qui fut assassiné dans des circonstances qui demeurent opaques. Dans son livre de plus de 250 pages, l’auteur apporte ainsi des éclaircissements sur ce fait, en évoquant le parcours de ce valeureux guerrier colonel de la Wilaya I historique et pose quelques interrogations sur l’opacité qui dure depuis plus d’un demi-siècle concernant son assassinat ainsi que celui de ses compagnons.
et ce à partir de recueils de témoignages et divers écrits historiques sur la guerre de libération.(Edition ecchihab 2014)
Les écrivains de KHENCHELA ,Monsieur Rabah AYACHE (Ammar) les commentaires sont rédigé par mon ami Nouredin Mourad
RABAH AYACHE (dit ammar)
Rabah Ayache (dit Ammar) originaire de Khenchela est un libraire,un peintre et un plasticien, artiste multi-talent et ancien gardien de but de l’USM Khenchela,(années 70). Décide d’explorer l’univers de l’ecriture avec un très beau roman que vous pouvez lire en une journée tellement attractif et passionnant. Les « griffes de la passion » est une histoire de passion et de souffrance, un roman d’amour et de mort.
L’auteur dans ce livre s'éprend follement d’une tunisienne qu’il rencontre un jour à Alger. Telle une Lydia Delectorskaya de Matisse ou d’une Dora Maar de Picasso, la belle Salima hantera l’esprit de Rabeh et deviendra sa muse. Il décidera d’aller la chercher à Tunis.
"Pour Ayache l’art comme l’amour n’est pas mensonge, il invite au rêve, au voyage, dans les tumultueux méandres de l’ensorceleuse passion, de l’envoutante beauté",.
"Les griffes de la passion" est paru cette année à compte d’auteur.
Rabah Ayache (dit Ammar) originaire de Khenchela est un libraire,un peintre et un plasticien, artiste multi-talent et ancien gardien de but de l’USM Khenchela,(années 70). Décide d’explorer l’univers de l’ecriture avec un très beau roman que vous pouvez lire en une journée tellement attractif et passionnant. Les « griffes de la passion » est une histoire de passion et de souffrance, un roman d’amour et de mort.
L’auteur dans ce livre s'éprend follement d’une tunisienne qu’il rencontre un jour à Alger. Telle une Lydia Delectorskaya de Matisse ou d’une Dora Maar de Picasso, la belle Salima hantera l’esprit de Rabeh et deviendra sa muse. Il décidera d’aller la chercher à Tunis.
"Pour Ayache l’art comme l’amour n’est pas mensonge, il invite au rêve, au voyage, dans les tumultueux méandres de l’ensorceleuse passion, de l’envoutante beauté",.
"Les griffes de la passion" est paru cette année à compte d’auteur.
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| Rabah AYACHE |
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| Mr Ayache avec Azzedine Maachi et moi même tous trois membres des ami(e)s de Khenchela |
Les écrivains de KHENCHELA , Monsieur Zine BAKOUCHE (les commentaires sont rédigés par mon ami Nouredin Mourad)
"L'enfant des Aurés " de Zine Bakhouche
Zine Bakhouche Né en 1954 à Babar(Khenchela), fait ses études de primaire a khenchela et secondaire a batna.aprés 4 ans passés à l’université de Constantine,il sort diplômé d'étude supérieures option géographie urbaine. Zine Bakhouche a occupé le poste d’enseignant chercheur à l'institut d'architecture de Biskra de 1986-1999. Il présentera en 2002 une thèse de doctorat sur le thème "Structures commerciales et dynamique urbaine : cas de Biskra’’ à l’université d’ d'Aix-en-Provence où il enseigne aujourd’hui. Il est également l’auteur de "Aurès-Nememcha.
Dans son livre « l’enfant des aurés » l’auteur invoque ses souvenirs d’enfance sa scolarité,son parcours professionnel,et puis son exil en France.une trés belle histoire en 100 pages d'un enfant qui a su gérer
un parcours sinueux.
La région des Aurès ses racines et sa fierté nous révèle que de l’enfant au pieds nus on peut faire un docteur et un écrivain de grand talent.
Son livre est éditée en France et en Algérie.
Zine Bakhouche Né en 1954 à Babar(Khenchela), fait ses études de primaire a khenchela et secondaire a batna.aprés 4 ans passés à l’université de Constantine,il sort diplômé d'étude supérieures option géographie urbaine. Zine Bakhouche a occupé le poste d’enseignant chercheur à l'institut d'architecture de Biskra de 1986-1999. Il présentera en 2002 une thèse de doctorat sur le thème "Structures commerciales et dynamique urbaine : cas de Biskra’’ à l’université d’ d'Aix-en-Provence où il enseigne aujourd’hui. Il est également l’auteur de "Aurès-Nememcha.
Dans son livre « l’enfant des aurés » l’auteur invoque ses souvenirs d’enfance sa scolarité,son parcours professionnel,et puis son exil en France.une trés belle histoire en 100 pages d'un enfant qui a su gérer
un parcours sinueux.
La région des Aurès ses racines et sa fierté nous révèle que de l’enfant au pieds nus on peut faire un docteur et un écrivain de grand talent.
Son livre est éditée en France et en Algérie.
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| Rencontre a la maison de la culture de ce grand écrivain, avec mes amis de Khenchela, Azzedine MAACHI et Nouredin Mourad |
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| Monsieur Zine BAKHOUCHE |
jeudi 16 octobre 2014
le 16 /10/2014 une nouvelle page Facebook sur TAOUZIENT qui s'appelle : FAIS-BOOK
voici le lien :https://www.facebook.com/nassfais/photos/a.276090555901092.1073741830.236244483219033/286696568173824/?type=1
mercredi 20 août 2014
K'TIBA manque de tout ( El Watan 20/8/2014)
Le mal-être, le désespoir et l’absence de perspectives se conjuguent à tous les temps dans la localité de Ketiba dans la commune de Taouzient (30 km du chef lieu de la wilaya), où les habitants sont ballottés entre les promesses creuses des responsables et la réalité amère. Les revendications sont les mêmes : l’aménagement urbain, l’eau potable, la couverture sanitaire, l’habitat rural, l’éclairage public, et la liste est longue.
Les locataires supportent depuis des années les aléas de l’enclavement de leur hameau surtout que les conditions de vie sont déplorables et empirent de plus en plus jusqu’à devenir insupportables. Certains habitants rencontrés n’ont pas caché leur colère et ont témoigné du fait que leur village est défavorisé et enclavé, tout en déplorant l’absence d’un minimum de moyens de base pour une vie décente.
«Ici, les villageois se sentent littéralement hors champ. Les autorités locales nous ont oubliés et ne se rappellent de nous qu’a l’occasion des élections ; nous manquons de tout malgré nos multiples démarches auprès des responsables concernés. Beaucoup de promesses nous ont été faites mais elles restent sans suites.
C’est la misère que nous vivons, surtout durant la saison hivernale quand la situation se complique davantage et devient catastrophique, au point où nous sommes livrés à nous même et isolés, surtout que notre village est carrément envahi par la boue et nos habitations sont délabrées et se dégradent à cause des infiltrations des eaux pluviales. L’éclairage public y fait superbement défaut, le manque de l’eau potable nous oblige de l’acheter avec des prix forts.
En résumé, notre cadre de vie ne cesse de se dégrader de jour en jour.» c’est ce que nous affirme l’un des habitants. Cette réclamation met en évidence la précarité dans laquelle vivent ces habitants, d’où la revendication d’un minimum de commodités nécessaires à la vie. Nos interlocuteurs lancent un appel au premier responsable de la wilaya pour les faire sortir de cet isolement, qui perdure et pour une vie décente pour leurs familles et leurs enfants.
Kaltoum Rabia
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